Les salariés français réclament… la suppression de leur cinquième semaine de congés payés.

Oui. C’est officiel.

Marre de la plage, du pastis, des barbecues et du bruit des cigales.

Place au silence feutré des open spaces, aux appels Teams à 7h58 et à la douce lumière bleue des écrans Excel.


On assiste à un tournant culturel :

la cinquième semaine serait devenue un gouffre à performance, une faille dans la productivité nationale.

Certains n’hésitent plus à la qualifier de “non-sens économique”.


Une voix s’élève : “Moi, j’ai pris 5 jours et je suis revenu en retard sur mes OKR.”

Témoignage bouleversant de Julien, cadre en reporting sensible.


Désormais, l’idée fait son chemin :

travailler pendant ses congés ne suffit plus.

Il faut travailler à la place de ses congés.


Les pionniers s’organisent :


  • Des “bootcamps de productivité” dans des coworkings à Biarritz.
  • Des “déconnexions contrôlées” : en vacances, mais avec Teams ouvert au cas où.
  • Des t-shirts floqués “Pas de vacances, pas d’errance”.



Même le gouvernement s’intéresse au phénomène.

Une piste serait à l’étude : transformer la 5e semaine en “semaine d’utilité collective”.

Objectif : remettre du lien, du sens… et quelques KPI dans l’été.


Car au fond, que reste-t-il du repos, si ce n’est une source d’anxiété latente ?

Et si le vrai luxe, en 2025, c’était… d’avoir trop de travail pour partir ?


Conclusion :

le travail, c’est la santé mentale des autres.

Et les vacances ? Une faille dans le plan de charge.

Supprimons cette anomalie. Et offrons enfin aux salariés ce qu’ils méritent : le droit d’être occupés. Tout le temps.